Afrique, Métropole, Haïti, Gwada réunies autour d'une table !
Ce week-end était placé sous le signe festif. En effet, j'attendais du monde pour fêter l'été, depuis environ 3 semaines et petit à petit, les invités se sont désistés mais heureusement, il reste toujours des irréductibles !
Le beau temps a été avec nous, nous avons pris l'apéro sur la terrasse, un punch qui marinait depuis 1 semaine : très bon, apparamment, mais pas tant chargé que ça, visib
lement puisque ce n'est qu'au bout de 2 verres qu'A. s'est aperçu que la tête lui tournait... Heureusement, il y avait des accras et une Val'kueshe pour pomper...
Les Chouchous s'en sont aussi donné à coeur joie, fiesta oblige, on a rien dit sur le coup, mais vu l'ampleur des dégâts, on ne pouvait plus circuler dans la chambre, on est resté sur nos gardes...
Un petit vent frais s'est ensuite levé, l'occasion de se rentrer, mais grillades oblige, certains ont été sommés de garder le feu... Au menu, ailes de poulet et côtes de porcs marinées à griller, bananes plaintain frites, jus de Gimgembre et vin blanc, un repas cool et animés, à chacun sa table, une pour le petits, l'autre pour les grands, on a terminé par des glaces et des discussions diverses variées qui ont tout de même tourné autour d'un thème majeur et de prédilection : le pluri-culturel ! L'optimisme des uns fréquentant le septissisme des autres sur l'avenir de nos chouchous dans la société française d'aujourd'hui et de demain... Vaste sujet en perspective qui a tout de même été entre-coupé de réflexions plus ou moins approfondies sur le paysage audiovisuel, entre autre et comme je l'ai promis à A., je le note sur mon blog, désormais, je verrais les "Feux de l'Amour" sous un angle bien plus intellectuel qu'il n'y paraît d'un prime abord. En effet, j'ai été heureuse de constater que même avec une série comme celle-ci, on peut en retirer de l'admiration pour le côté psychologique et recherché dont les scénaristes et autres statisticiens doivent faire preuve pour allonger pendant plus de 20 ans un feuilleton où il faut parfois 10 épisodes pour "ouvrir une porte...