Il est des airs...
Il est des airs
Qui titillent votre imaginaire
Je me souviens d'un exercice
Que nous avait donné notre professeur de musique
A l'écoute de la Moldau
On devait proclamer tout haut
Ce que nous évoquait
La mélodie qu'on entendait
Je me souviens que pour la Moldau
J'avait pensé à des chevaux
Sauvages, dans une course effreinée
Ils jouissaient de leur liberté
Et dans les passages les plus lents
Je les imaginais, paissant
Pourtant, La Moldau
C'est l'histoire d'une rivière
D'un tout petit cours d'eau
Le musicien nous transfert
à un filet d'eau plus gros
Et l'on suit sur son air
Un histoire qui coule à flots...
A suivre...