2 jours à tuer...
J'ai entendu parler de ce film, avec Albert DUPONTEL, ce soir au JT de TF1. L'histoire : "Antoine Méliot, la quarantaine, a tout pour être heureux : une belle épouse, deux enfants adorables, des amis sur lesquels il peut compter à tout instant, une jolie demeure dans les Yvelines et de l'argent. Mais un jour, il décide de tout saboter en un week-end : son bonheur, sa famille, ses amis. Que s'est-il passé chez cet homme pour qu'il change si étrangement de comportement ?"
m'a touchée.
Pourquoi ?
Parce que moi aussi, parfois, comme dans le film, je me pose la question sur ce qu'est réellement le bonheur ?
Est-ce ceci, le bonheur ? Ce qui est décrit au début du résumé du film ? Sans hésitation, beaucoup répondront "oui". Moi je réponds : "oui, peut-être"... Parce qu'en résumé, Antoine MELIOT arrive à une conclusion à la quarantaine, qu'il s'ennuie dans sa vie si parfaite, dans sa vie tant à l'image de ce que se fait la majorité d'entre nous... J'ai d'ailleurs comme l'impression que cela est choquant de conclure à cela. Comment ? Pourquoi vouloir plus que cela ? Certains d'entre nous, en effet, ne veulent pas forcément plus que cela, mais ils ont besoin d'un bonheur différent de celui là et il faut pratiquement porter le fardeau de cette idée, parce que cela n'est pas conventionnel, parce que cela peut paraître incompréhensible, parce que c'est sans doute ne pas rentrer dans le cercle des biens pensants. Ben oui, c'est tout cela et moi, j'avoue que je trouve beaucoup plus d'intérêt à quelqu'un qui vit autre chose que tout cela, peut-être même quelqu'un qui flirte avec la légalité, quelqu'un qui s'engagera pour ses idées, quelqu'un qui verra plus loin qu'un vie embourgeoisée, égoïste et individualiste, quelqu'un qui prendra un peu plus de risques pour être libre et détaché de toutes les convenances, qui suivra ses rêves et ne ressentira pas le poids de la société trop lourd, comme une machine à avaler son être...
Le film est adapté du roman de François d'EPENOUX : "Deux jours à tuer"
m'a touchée.
Pourquoi ?
Parce que moi aussi, parfois, comme dans le film, je me pose la question sur ce qu'est réellement le bonheur ?
Est-ce ceci, le bonheur ? Ce qui est décrit au début du résumé du film ? Sans hésitation, beaucoup répondront "oui". Moi je réponds : "oui, peut-être"... Parce qu'en résumé, Antoine MELIOT arrive à une conclusion à la quarantaine, qu'il s'ennuie dans sa vie si parfaite, dans sa vie tant à l'image de ce que se fait la majorité d'entre nous... J'ai d'ailleurs comme l'impression que cela est choquant de conclure à cela. Comment ? Pourquoi vouloir plus que cela ? Certains d'entre nous, en effet, ne veulent pas forcément plus que cela, mais ils ont besoin d'un bonheur différent de celui là et il faut pratiquement porter le fardeau de cette idée, parce que cela n'est pas conventionnel, parce que cela peut paraître incompréhensible, parce que c'est sans doute ne pas rentrer dans le cercle des biens pensants. Ben oui, c'est tout cela et moi, j'avoue que je trouve beaucoup plus d'intérêt à quelqu'un qui vit autre chose que tout cela, peut-être même quelqu'un qui flirte avec la légalité, quelqu'un qui s'engagera pour ses idées, quelqu'un qui verra plus loin qu'un vie embourgeoisée, égoïste et individualiste, quelqu'un qui prendra un peu plus de risques pour être libre et détaché de toutes les convenances, qui suivra ses rêves et ne ressentira pas le poids de la société trop lourd, comme une machine à avaler son être...
Le film est adapté du roman de François d'EPENOUX : "Deux jours à tuer"
Je pense que je vais probablement l'acheter car pour aller au cinéma, c'est beaucoup plus cher et compliqué, si quelqu'un l'a lu, je suis preneuse sur un avis...Sinon, je vous donnerai le mien prochainement...